Le 9 décembre 2024, le Réseau francophone international en Conseil scientifique (RFICS) a tenu sa toute première Assemblée générale annuelle, rassemblant virtuellement ses membres de divers horizons. Cette rencontre a marqué une étape importante dans la vie du réseau en offrant une plateforme pour faire le point sur les réalisations passées et tracer les grandes lignes pour l’année 2025.
L’assemblée était animée par Madame Valérie Amiraux, présidente du comité directeur du RFICS et vice-rectrice aux partenariats communautaires et internationaux à l’Université de Montréal, ainsi que par Monsieur Thierry Verdel, secrétaire du comité directeur et recteur de l’Université Senghor à Alexandrie. Ces deux figures de proue ont guidé les discussions avec dynamisme et clarté, renforçant l’engagement des membres envers la mission du RFICS.
La séance a démarré avec une présentation des réalisations du réseau au cours des dernières années. Monsieur Mathieu Ouimet, directeur général, a partagé un aperçu de l’état actuel de l’organisation, en mettant en lumière les progrès accomplis en 2023 et 2024, notamment en matière de projets, de partenariats et d’initiatives stratégiques. Un accent particulier a été mis sur l’élargissement des collaborations internationales et l’impact grandissant du réseau dans la promotion du conseil scientifique au sein de la Francophonie.
L’événement a également permis de dévoiler le plan d’action pour 2024 et 2025, qui comprend des objectifs clés tels que le renforcement des capacités des membres, l’organisation de webinaires mensuels et le développement de nouveaux partenariats stratégiques avec d’autres organisations. Les discussions sur la gestion de projets et la possibilité de collaborer avec de nouveaux partenaires ont suscité un vif intérêt parmi les participants.
Un moment fort de cette rencontre a été l’élection du représentant étudiant au comité exécutif, symbolisant l’importance accordée par le RFICS à l’implication des jeunes dans la gouvernance du réseau. Madame Salmata Diallo a été élue à ce rôle, à la suite d’un processus participatif et inclusif.
Enfin, les membres ont échangé sur des questions stratégiques clés, notamment l’évaluation des activités passées et les priorités futures. Des points saillants incluaient l’importance de développer une politique scientifique dans certains pays francophones et la nécessité de créer des réseaux entre chercheurs et décideurs pour faciliter l’intégration des données probantes dans les politiques publiques.
